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Nos soupes

Ici en hiver, c'est soupe 2 soirs par semaine (une soupe faite pour 2 repas). Et à la fin de l'hiver, on commence à en avoir raz la casquette des soupes et on attend les beaux jours pour manger de bonnes salades. Alors, on cherche régulièrement des recettes de soupe un peu plus originales et sympas que la traditionnelle poireaux/carottes. Voici donc notre liste de soupe et leurs recettes :

- Soupe de petits pois et lardons (tout est écrit, on rajoute un bouillon de volaille et le tour est joué)

- Soupe de potimarron (avec pommes de terre et bouillon)

- Soupe de fanes de radis et carottes (avec pommes de terre et bouillon)

- Soupe aux champignons (avec pomme de terre et bouillon)

- soupe patates douces et carottes (avec bouillon et, en option cumin)

- soupe aux épinards (avec pomme de terre et bouillon)

- soupe de courgettes (avec pomme de terre et bouillon)

- soupe lentilles corail, carottes, chèvre (avec bouillon + ajouter le fromage de chèvre frais après cuisson, possibilité d'ajouter du piment d'espelette).

- soupe haricots blancs, carottes, tomates (avec bouillon de légumes, 1 càc de curry, 1 càc d'herbes de provence ou de thym et 1 oignon. Dans la recette d'origine, il faut mettre du concentré de tomates mais trop fort en goût pour nous, on réessaiera avec des tomates).

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Gratin de pommes de terre, carottes, bacon

Nouvel essai culinaire. Chez nous, on a une liste de repas bien fourni qui nous permet de faire les courses sans chercher pendant des heures ce qu'on pourrait bien manger. Mais régulièrement, on se retoruve face à notre liste avec le sentiment de manger toujours la même chose, alors on tente une nouvelle recette. Celle-ci je suis tombée dessus par hasard sur instagram. On l'a légèrement modifié et on a beaucoup aimé.

 

- des pommes de terre et des carottes dans les proportions que vous désirez pour remplir votre plat à gratin.

- 150g de bacon

- 1 oignon

- une béchamel (lait, beurre, farine)

- fromage râpé.

 

Eplucher et couper les carottes et les pommes de terre et les faire cuire.

Couper le bacon en petits morceaux, ainsi que l'oignon.

Préparer la béchamel.

Dans un plat à gratin, mettre l'oignon, le bacon, les carottes et les pommes de terre en mélangeant le tout. Recouvrir de béchamel et de fromage râpé.

Cuire 20 minutes au four à 180°. Facile, efficace et très bon !

 

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Lettre 1 : celle où je parle de nos premiers liens

Mon petit doudou,

Je t'imagine à 30ans lire cette lettre et te dire 《ma pauvre mère était complètement gaga : "mon petit doudou" : sérieusement ?》. Eh bien, oui, je suis gaga, et ton surnom "doudou" s'est imposé à moi dès ta naissance. J'aurais pu faire plus original, je te l'accorde. Le doudou... celui dont on renifle la douce odeur, celui qui accompagne les petits dans les moments d'angoisse et les transitions, le doudou tout doux de l'enfance auquel il faudra un jour renoncer mais qu'on garde précieusement dans une armoire à l'abri des regards... voilà ce que m'inspire ce surnom qui s'est imposé à moi. Et d'ailleurs tu sais quoi ? Je n'ai jamais eu de vrai doudou quand j'étais petite ! Bref...

J'ai beaucoup réfléchi à comment t'écrire cette lettre. D'ailleurs c'était pas prémédité : oui, j'écris des lettres à ta sœur mais je n'avais pas le projet d'en faire autant pour toi. Sauf que... j'en ai eu le besoin : celui de coucher sur le papier (taper au clavier en l’occurrence) mes ressentis si forts et qui me questionnent tant. Tu as 6 semaines et 3 jours et enfin je commence à écrire sur ce que j'ai compris à la seconde où tu es né.

Toute ma vie je me suis imaginée mère d'une fratrie de filles. Je ne parvenais pas à me projeter avec un garçon. 《De toute façon, me disais-je, il ne faut pas que j'ai de garçons, je ne saurais pas m'en occuper.》 J'avais grandi avec des sœurs, avec des cousines, mais pas de garçons à l'horizon. Alors non, vraiment, je n'y arriverais pas : je ne saurais que faire d'un garçon. Et, pour mes 2 grossesses, il y avait en moi, quelque part, une certitude que finalement on choisissait un petit peu le sexe de nos bébés, inconsciemment, mais quand même. Et moi, consciemment et inconsciemment, j'en étais sûre : je voulais des filles... donc j'aurai des filles. Et puis, il y a eu cette première écho et pour moi un premier doute : voilà qui ressemblait à un garçon, ce qui fut confirmé par la sage-femme quelques semaines plus tard. Alors, j'allais avoir un fils : d'accord. Je m'attendais à avoir la trouille et à être déçue. Mais non, ni l'un ni l'autre : j'ai accueilli cette nouvelle avec sérénité. En fait, c'était comme si je découvrais une évidence, comme si inconsciemment j'avais voulu un fils et qu'enfin cette info émergeait consciemment.
La grossesse s'est poursuivie et petit à petit, je créais avec toi un lien fort, indicible. Je ne t'ai pas parlé comme je le faisais pour ta sœur, je n'en avais pas besoin, tu étais là, comme une partie de moi qui vivait ce que je vivais, entendait ce que je pensais. Souvent, et jusqu'au terme, je me croisais dans les miroirs et je me disais "ah oui c'est vrai, je suis enceinte". Comment exprimer cela clairement ? En fait, je n'attendais pas un enfant : il y avait toi, en moi, continuité de mon être. C'était là, prégnant, cette fusion, mais je ne l'ai comprise qu'au moment de ta naissance. Les femmes disent souvent avoir aimé leur enfant au premier regard. Moi, le premier lien ne fût pas par le regard : je t'ai entendu crier dans mon dos et j'ai été submergée. J'ai su instantanément que ce lien avec toi pouvait me perdre et qu'il me faudrait apprendre, chaque jour, à laisser grandir "mon doudou". D'ailleurs, au cours de la grossesse, j'avais décidé que je voulais couper le cordon ombilical : ton père n'était pas désireux de le faire et moi j'étais curieuse de sentir sous les ciseaux la consistance de ce lien de vie entre une mère et son enfant. Mais le moment venu, j'ai refusé. Ce n'était pas réfléchi, j'ai juste dit non et c'est la sage-femme qui s'en est chargée . Comme si je refusais d'acter cette première séparation : séparez-moi de mon doudou, moi je ne peux pas.

C'était donc ça. Ce que j'ai toujours pris pour une peur de ne pas savoir m'occuper et élever un garçon, était en fait une peur viscérale de ce lien que je créerais et qui me dépasserait ? Ou alors peut-être que je me plante, que ça n'a rien à voir avec le fait que tu sois un garçon, mais que ce lien est là parce que c'est toi, à ce moment-là de ma vie, avec ce parcours de grossesse, cet accouchement, cette rencontre. Je ne sais pas, je ne parviens pas à élaborer la question. Rapidement, j'ai dit à ton père : 《prend ta place, j'en ai besoin car c'est trop fort le lien avec lui》. A nouveau, le "séparez-moi de mon doudou, moi je ne peux pas le faire". Et toi, en réponse, tu ne te laissais apaiser que par mes bras ; ton papa te désignait déjà comme "fils à maman". Et moi j'oscillais entre ce sentiment de plénitude quand je te portais, te câlinais, et un sentiment d'étouffement, presque de danger. Parfois j'ai peur d'être trop et de t'empêcher d'être et de devenir, ou que cette première peur me mène à être pas assez et à te repousser. Ce lien me tétanise autant qu'il me vitalise.


Je me relis et je me dis qu'il me faudrait une bonne séance de psy ou peut-être une analyse de 20ans !

J'ai compris avec toi combien amour et attachement sont distincts. Tu sais il y en a qui disent qu'on a toujours un enfant préféré et j'avais peur que ça soit vrai. Sache-le, c'est faux. Mon amour est équivalent, fort et incommensurable, pour ta sœur comme pour toi. La différence c'est le lien : comment la force de cet amour s'exprime différemment malgré moi.

 

Je termine cette lettre : tu auras 8 semaines demain. Je reviens du rendez-vous avec la conseillère en lactation. Elle t'a dit de lâcher ta mère, elle a dit que tu étais "un garçon à sa maman", elle m'a dit "vous êtes son doudou"... Et j'ai pensé que c'était de bonne guerre !


Je t'aime,
Maman.

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Mon post-partum : le corps

Après tout ce récit grossesse et accouchement, je ne peux pas ne pas parler de l'après, ce serait tronquer un bout essentiel de l'histoire. L'après c'est le bébé mais c'est aussi soi, en tant que femme dans un corps profondément différent, c'est aussi un chamboulement hormonal et psychologique personnel, ainsi qu'un tsunami familial. Aujourd'hui, je vais parler de mon post-partum au niveau corporel.

Ce post-partum je l'appréhendais énormément. Après la naissance de bichette j'étais tombée de haut : je n'étais pas préparée à ce corps douloureux et qui me trahissait. Je m'étais sentie fragilisée, incapable pendant des jours. C'était dur physiquement. J'avais eu un fort sentiment de colère : pourquoi personne ne m'avait dit que c'était si dur ? Pourquoi m'avait-on laissé croire que la dernière difficulté était l'accouchement ? Et pourquoi n'avais-je pas pensé moi-même que ça allait être chaud ? Parce que franchement, il fallait pas un bac +10 pour comprendre que quand un bébé de 3kg5 passe par là, ensuite ce n'est pas le paradis.

Alors cette fois, j'étais prête... mais j'avais peur ! J'ai bien profité de la grossesse et j'avais hâte de l'accouchement et de la rencontre avec mon bébé, mais le post-partum me terrifiait.


Les premiers jours :
Une grossesse n'est pas l'autre, un accouchement n'est pas l'autre, un bébé n'est pas l'autre et c'est aussi vrai pour le post-partum. Les premiers jours après la naissance de doudou furent aussi sereins et faciles qu'ils avaient été stressants et difficiles pour bichette. Les douleurs étaient quasi inexistantes : pas de difficultés à me mouvoir, pas de douleurs au niveau des points, pas de brûlures lors des mictions... je ne faisais pas des sauts de cabri mais presque. S'il n'y avait pas eu ces saletés de tranchées, ça aurait presque été les vacances. Mais donc il y avait les tranchées... je savais qu'elles étaient d'autant plus douloureuses qu'on avait d'enfants, mais je m'attendais à passer du palier "qui picote légèrement" pour bichette, à un palier "oh ça picote bien" pour doudou. En réalité c'était plutôt "mais p***** qui est en train de me déchirer les entrailles ??". Bref, j'ai morflé, bien plus qu'à l'accouchement, et on m'a filé un truc plus fort que le doliprane qui a bien apaisé les choses pendant 24h. Pour citer la sage-femme "on n'a pas plus fort : celle-là c'est de la bonne !". Je passe sur cette autre sage-femme qui m'a vendu du rêve en me disant que c'était l'histoire de 24h et qu'après ça irait mieux... bon, hein à 170h près ce qu'elle disait été vrai. Donc oui, j'ai douillé (tout de même de moins en moins) pendant une semaine.


Les jours suivants :
J'ai plutôt vite repris du poil de la bête. Déjà, je n'ai pas eu la sensation que j'allais accoucher de tous mes organes à chaque fois que je me mettais debout. Pour bichette, cette sensation avait duré des semaines. A tout moment je m'attendais à ce qu'on me tapote l'épaule : "madame vous avez laissé votre pancréas derrière vous !". Non, je dirais même que pour ce second post-partum, j'ai plutôt l'impression que mes organes sont en apesanteur, pas décidés à reprendre leur place... quant à mes abdos, qui n'étaient déjà pas très vaillants avant la grossesse, ils se sont tellement écartés qu'ils doivent être quelques part dans mon dos en train de se demander ce qu'ils foutent là.
Il y a donc quand  même quelques ombres au tableau..  d'ailleurs 5 semaines après l'accouchement, surprise ! Coucou ! Qui voilà ? Les vergetures ! Injustice suprême : je pensais les avoir évitées et je ne pensais pas qu'elles pouvaient apparaître si longtemps après l'accouchement... c'est traître ces petites bêtes-là. En parlant de traîtres, les vergetures ne sont pas seules à être sur le podium de la traîtrise. 2eme ex-aequo, j'appelle sur le podium mon bassin ! Je monte avec joie sur la balance découvrant que j'ai quasi perdu tout mes kilos de grossesse. Mais à chaque fois que j'essaie d'enfiler un vêtement, il n'y a rien à faire, ça ne passe plus ! Trop large (moi hein, pas les fringues !) ! Alors je mets mes vêtements de grossesse dans lesquels je nage : comme c'est l'hiver et qu'accessoirement c'est mal vu de se promener cul-nu, eh bien je ressemble à un sac !
Mais la médaille d'or de la traîtrise revient résolument aux lochies. Celles-ci ce sont de sacrées vicieuses qui te laissent croire qu'elles en ont fini avec toi avant de faire un retour triomphale 3 jours plus tard. Bon... une fois pourquoi pas ! Mais 3 retours triomphales plus tard, on est d'accord que c'est quasiment du sadisme !

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Récit d'une petite nuit ordinaire

Habituée depuis quelques jours aux nuits catastrophiques, je ne me faisais guère d'illusions sur la nuit qui s'ouvrait à nous, mais j'étais prête : j'avais fait une petite sieste l'après-midi pour lutter contre la fatigue et aider les nerfs à tenir, à côté de mon fauteuil d'allaitement, le nécessaire de survie pour une longue nuit : un bon livre et des écouteurs pour écouter une liste de podcasts en attente dans mon portable.

21h40 débute la 1ere tétée de la nuit. Et après une verticalisation, quelques rots et un rappel pour la forme, je m'endors rapidement et paisiblement vers 23h.
Les cris me réveillent et mon 1er réflexe est de regarder l'heure : 2h37 ! Je suis aux anges ! Je n'en attendais pas tant ! (NMM (ça veut dire "Note à Moi-Même", rien à voir avec une friandise cousine des m&m's (je sais on comprend rien aux parenthèses dans les parenthèses, pardon, j'arrête)) NMM donc : ne jamais se réjouir trop vite... NMM 2 : ajouter des friandises, genre m&m's au nécessaire de survie pour les longues nuits)). Me rendant dans la chambre de doudou, je fais un rapide calcul : au plus tard, rappel compris, je devrais retrouver mon lit à 3h45 et il me restera des heeeeures de sommeil devant moi (NMM : Ne jamais faire de plan sur la comète...).
3h45, rappel compris, je suis de retour dans mon lit. C'était sans compter le 2eme rappel (le truc qui n'arrive qu'aux plus grandes star..) et moi, telles les stars à la fausse modestie qui disent "je n'avais pas prévu de 2ème rappel qu'est-ce que je vais bien pouvoir vous chanter ?", me voilà devant mon fils à lui demander qu'est-ce qu'il est en train de me chanter-là et qu'est-ce que je peux bien encore faire pour lui ? Je tente un réendormissement dans son lit mais je vois bien que c'est un échec annoncé. Je dirige mon nez vers son bas ventre : eurêka ! Un caca ! Hop, petit changement de couches, quelques bercements et pour 4h10, je devrais retrouver mon lit ! (NMM : NE JAMAIS FAIRE DE PLAN SUR LA COMÈTE (je le répète car c'est important : 100% des dépressions post-partum sont causées par des plans sur la comète)). Mais le changement de couches me fait faire 2 grandes découvertes (bien moins prestigieuses que celles de Christophe Colomb et de Pasteur mais quand même) : la couche a débordé laissant mon bébé tout trempé et au vu de sa respiration, il a le nez pris. C'est donc parti pour le nu intégral (dans les cris parce que c'est l'hiver pardi), le rhabillage en 4ème vitesse (qui a eu l'idée de mettre des pressions partout sur ces petits vêtements ??) et, foutu pour foutu, le mouchage de nez qui s'apparente à une séance de torture (bien décidée à attraper jusqu'à la dernière crotte de nez qui se dressera sur mon chemin vers mon lit). VOILÀ ! Quelques bercements et on devrait être bon ! Sauf que mon chérubin se met à téter frénétiquement tout ce qui passe à portée de bouche : mon pyjama, ma joue, ses mains... j'ai compris : 4h10 c'est pas retour au lit, c'est retour au fauteuil d'allaitement... fin de tétée : verticalisation, rots et... là c'est le drame... le bruit qui émane des fesses de mon fils ne fait aucun doute : il vient de souiller à nouveau sa couche. Nouveau change en mode dépression avancée... allez, courage, ça devient bon, je le berce 5 minutes et je serai de retour dans mon lit. Je vous entends dire que je n'ai pas appris de mes erreurs et que je fais encore des plans sur la comète. Mais non, c'est un plan tout à fait réaliste : qu'est-ce qui pourrait arriver maintenant ? Bah ouais, je vous le mets dans le 1000 : mon cher bébé s'est mis à se tortiller, à faire des bruits étranges... j'ai prié pour que ça ne soit pas annonciateur de ce que je croyais que c'était. Eh bien si, c'était bien ce que je pensais que c'était : après 2 tétées, de multiples rots, un mouchage de nez, 2 cacas, de longues minutes de bercements, mon bébé, secoué en tout sens, a choppé le hoquet ! J'arrête tous les plans car le pire dans le hoquet c'est qu'on ne sait pas combien de temps ça va durer... il paraît qu'il y a un mec aux états-unis qui a eu le hoquet pendant 68ans. Voilà la vérité : jamais je ne retrouverai mon lit et dans 68ans de ça, je bercerai encore un vieux bébé hoquetant ! C'est à ce moment-là que je me suis posée la vraie question : qu'est-ce que j'ai fait au bon dieu pour mériter ça ? Ok, je ne suis pas une Sainte, mais j'en suis pas loin, je suis quand même plutôt sympa comme fille et je suis quasi sûre qu'une place au paradis m'est réservée. Alors quoi ? Là, mon bébé hoquetant dans les bras, j'ai visualisé Dieu affalé dans un fauteuil en nuage ultra-moelleux, un sachet de pop-corn dans les mains, en train de se bidonner en orchestrant ma déchéance et en se délectant devant le spectacle que j'offrais.
Retour au lit 5h05, sans rancune envers Dieu : un jour, moi aussi j'en rirai.

C'est au réveil suivant, vers 6h30, une tétée et un caca plus tard (oui, cet enfant est une machine à caca), que la vérité m'est apparue. Terminant le change, je croise le regard angélique de mon bébé qui me dégaine son plus beau sourire. Et si Dieu avait d'autres chats à fouetter ? Et s'il était là, aux premières loges, non pas en train de se vider un paquet de pop-corn mais en train de s'envoyer des grandes rasades de lait, celui qui profitait le plus du spectacle ? Ce petit coquin de petit bonhomme sait parfaitement comment garder sa maman auprès de lui à longueur de nuit...

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