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Le(s) projet(s) de naissance

A l'approche de la fin de la grossesse, j'ai rédigé le projet de naissance. Nous en avons discuté cette semaine avec la sage-femme qui nous fait la préparation à l'accouchement et, à priori, le projet tient la route. A vrai dire, j'étais déjà très au clair sur ce que je désirais pour ce deuxième accouchement avant même d'être enceinte ! Le projet ressemble beaucoup à celui pour Bichette, à part quelques modifications qui me sont venues en lisant l'excellent livre "le guide de la naissance naturelle". Bon, certaines choses étaient un peu extrêmes mais l'esprit global du livre collait bien à ma vision des choses. Ainsi que des modifications liées à ma première expérience de l'accouchement et du post-partum.

Surtout la grande nouveauté par rapport à bichette, c'est que je n'ai pas fait un, mais 3 projets de naissance ! Le premier, classique, à l'attention de l'équipe de la maternité. Une deuxième qui est plutôt un guide à l'attention du papa. Même s'il participe avec moi aux préparations à l'accouchement, ce que j'ai rédigé lui permet de pouvoir se rappeler ce que j'attends de lui le jour J. Il a un peu la pression ! Et enfin, le dernier projet de naissance n'est pas un projet rédigé : il s'agit pour moi de me projeter sur cet accouchement. Je m'imagine régulièrement des scénarios différents. Exit les scénarios catastrophes évidemment. Le but est vraiment de se mettre dans de bonnes dispositions mentalement et de rêvasser positivement à cet accouchement. Parce que vous savez, les gens aiment bien vous raconter les histoires d'accouchement les plus horribles qu'il soit, ce qui entretient la peur autour de cet évènement. Je choisis de lutter contre les mauvaises ondes en m'imaginant du beau, pas du bisounours, du réaliste mais qui se passe bien. Et j'ai eu cette semaine une info qui va pouvoir enrichir mes scénarios d'accouchement : si bébé patiente jusqu'en janvier, il y aura au cours du mois l'ouverture d'une salle d'accouchement nature à la maternité : le rêve !

 

Aujourd'hui, je vous partage le projet de naissance classique et dans le prochain article, celui a destination du papa.

 

En ce début d'année, nous nous apprêtons à donner naissance à notre deuxième enfant, à nouveau au sein de votre établissement. Nous avons pleinement confiance en votre professionnalisme et en votre accompagnement tant pour l'accouchement, que pour nous épauler lors des premiers jours de notre bébé. Pour autant, nous désirons nous approprier pleinement ce temps de la naissance en émettant des souhaits sur la naissance que nous imaginons pour l'arrivée de notre petit garçon.

 

Pendant le (pré-)travail :

- La maman souhaite avoir la possibilité de repousser toutes démarches protocolaires à un moment ultérieur pour éviter tout état de stress qui risquerait de stopper le travail. Elle ne veut pas être séparée de son conjoint à son arrivée à la maternité.

- La maman souhaite pouvoir rester active. Elle ne veut pas être alitée avec un monitoring en continu ; elle préférerait qu'on favorise un monitoring intermittent, et pouvoir être dans la position qu'elle souhaite durant celui-ci (éviter d'être allongée).

- La maman connaît les freins à une avancé du travail : elle désire de l'intimité et éviter toute stimulation inutile (pas de lumière vive, pas d'interventions trop régulières du personnel)

- La maman souhaite éviter au maximum la médicalisation de son accouchement. Ainsi, elle ne souhaite pas être perfusée (ni hormones de synthèse, ni eau glucosée). De même, elle ne souhaite pas de procédures artificielles favorisant l'accélération du travail. Elle préfère favoriser les techniques naturelles : stimulation des mamelons, massages, recréer un cocon rassurant et favorisant la sécrétion d'ocytocine. Elle désire accoucher sans péridurale et voudrait être accompagnée, voire boostée au moment de la phase de désespérance en ce sens par l'équipe médicale. Si une médicalisation était nécessaire, nous souhaitons être informés de tout acte médical réalisé et qu'on nous en explique la raison.

- En cas de péridurale, la maman souhaite qu'elle soit faiblement dosée.

 

Pendant l'accouchement :

- La maman souhaite être aidée pour trouver la meilleure posture.

- Dans l'idéal, elle voudrait que l'épisiotomie soit évitée.

 

L'accueil de bébé :

- Nous aimerions que le cordon ombilical soit coupé tardivement. La maman aimerait réalisé cet acte, si elle est en capacité de le faire.

- La maman souhaiterait être accompagnée pour la tétée de bienvenue.

- Si la maman n'était pas en capacité de le faire, nous voudrions que le papa puisse accueillir rapidement bébé et l'avoir en peau à peau.

- Nous désirons le plus doux des accueils pour notre bébé. Sauf en cas d'absolue nécessité, nous souhaiterions qu'il n'y ait pas d'aspirations nasales ou gastriques de pratiquées sur notre enfant. Nous voulons être informés de tout acte médical réalisé sur notre enfant et qu'on nous en explique la raison. Si des soins sont à prodiguer rapidement au bébé, nous voudrions que le papa ait la possibilité d'y assister.

 

Le séjour à la maternité :

- Il est absolument essentiel pour nous que le papa puisse être présent dans les premiers jours de vie de notre enfant ; qu'il puisse être accueilli dans la bienveillance et réaliser avec la maman les gestes des soins au bébé.

- Nous souhaitons que le bain soit donné tardivement.

- La maman souhaite être accompagnée pour l'allaitement.

Nous vous remercions de l'attention que vous porterez à notre projet de naissance.

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Le 7ème mois

Ca avance, ça avance ! Et on est... pas prêts ! Le prénom est toujours en débat, la chambre est toujours en chantier, les machines à laver n'ont pas commencé à tourner. Bref, il ne faudrait pas que notre bébé fraise se pointe plus tôt que prévu ! On se dit qu'il va quand même falloir commencer à se bouger un peu ! Du coup, on profite des vacances en ce début de mois pour avancer un peu sur la chambre de notre petit cœur. Au programme : détapissage, remise en état des murs et du radiateur. Maintenant, il n'y a plus qu'à poursuivre le mois prochain pour faire un petit nid douillet.

De mon côté, je prépare tranquillement l'arrivée de bébé : je fais les premiers achats pour la boîte à grande sœur et les achats pour le séjour à la maternité. Pour Monsieur le papa, les choses se concrétisent avec les premiers cours de préparation à la naissance. J'ai choisi des cours Bonapace plutôt indiqués pour des accouchements physiologiques. Pour Bichette déjà, j'avais lu le livre de la méthode Bonapace, alors quand j'ai su qu'il y avait des cours dans notre maternité, j'étais ravie ! Pour ces cours, la présence du papa est fortement recommandée. Pour nous, c'est une évidence : on assistera à tous les cours ensemble ! L'occasion pour mon chéri de se projeter et de pouvoir prendre toute sa place le jour J (j'y reviendrai). Au programme des premiers cours : visualisation du parcours du combattant de bébé pour naître pour une meilleure compréhension de la physiologie de l'accouchement. Personnellement, je me dis « punaise ! Il faut un GPS pour réussir à sortir de là ! » et aussi « la nature est vachement bien faite ! » ou encore « wahou il y a tant de choses qui peuvent faire que ça ne marche pas ». Bref, une remise au clair bien utile ! On apprend aussi à respirer et on découvre un enchaînement de postures de yoga pour préparer le corps à la naissance : je suis invitée à refaire cet enchaînement aussi quotidiennement que possible. Ah ! Et puis, lors du premier cours, la sage-femme nous présente un petit film humoristique qui présente la problématique de la surmédicalisation de l'accouchement : je vous mets le lien. De quoi nous mettre dans l'ambiance !

 

En parallèle, je finalise le projet de naissance et... le guide que j'ai commencé à rédiger pour le papa afin qu'il sache ce que j'attends de lui le jour J : la pression ! Je vous partage tout ça prochainement.

Le 10 novembre, visite du 7ème mois donc ! Tout va bien pour bébé ! Moi je suis un peu anémiée... et entre la fatigue et les contractions, on décide que je me mettrai en arrêt 2 semaines plus tard : en congé pathologique. Heureusement, les contractions n'ont pas d'incidence sur le col. Quant à bébé, avec ses 1kg770 et ses quelques cheveux, il décide de garder un peu de mystère : pas d'écho 3D pour nous, notre petite fraise des bois cache son visage avec ses 2 mains !

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Le choix du prénom

Oh le casse-tête ! Le prénom ! Ca avait déjà été une sacrée aventure quand on attendait Bichette. Rappelez-vous, Monsieur est hyper classique et moi je suis un peu plus dans l'originalité : bref, nos goûts ne se rencontrent que très rarement ! Pour Bichette, nous avions fini par tomber d'accord sur un prénom très classique mais quasiment plus donné aujourd'hui et je suis ravie de ce choix. Le prénom de garçon (puisque nous ne savions pas le sexe) avait finalement été pioché dans la liste de Monsieur et j'avais été soulagée d'accoucher d'une petite fille car en fait, ce n'était pas du tout un coup de cœur.

 

Cette fois-ci, j'étais bien décidée à faire passer un de mes prénoms aussi original soit-il. J'avais une stratégie qui consistait à proposer tout un tas de prénoms loufoques et moches, et au milieu mon coup de cœur, juste un peu original, pour que Monsieur mon chéri dise "bon, c'est le moins pire". Sauf que la stratégie, elle marche si on part du principe que c'est dans ma liste qu'on choisira le-dit prénom, mais clairement, Monsieur l'amoureux n'est pas prêt à me laisser décider seule des prénoms de notre progéniture... dommage (parce que j'ai de bien meilleur goût que lui !). En plus comme il était un peu pris par les travaux de la maison, j'ai bien tenté un "toi tu gères les travaux et moi je gère le prénom". Allez comprendre pourquoi, il n'a pas accepté.

 

Moi, pour les prénoms, je suis toujours à fond et à partir du moment où on s'est dit qu'il y aurait un bébé 2, j'ai commencé à mettre des prénoms de côté. Autant vous dire qu'à peine enceinte, j'avais déjà une belle liste à proposer ! Comme d'habitude, j'étais bien plus inspirée pour une fille et un coup de coeur s'est vite profilé. J'avais prévenu mon chéri : si c'était une fille, c'était non négociable, ce serait Ysée. Bon... on serait aller au clash, alors notre petit mec à éviter une troisième guerre mondiale sous notre toit. Monsieur l'amoureux m'a dit "j'aurais peut-être fini par accepter mais en 3ème prénom, au mieux !"... Ah je vous jure !

 

A priori, les prénoms de garçons nous menaient à plus de consensus : nous devions donc facilement nous en sortir et trouver un prénom en un claquement de doigts. "A PRIORI" est le mot clef de cette phrase ! Je ne sais pas combien de prénoms j'ai proposé à mon cher et tendre, mais je vous assure qu'il est dur en affaire. J'ai eu le droit à "je ne répondrais même pas à ça", à "ça ne ressemble pas à un prénom", à "on dirait qu'il manque des lettres"... Petite parenthèse sur cette dernière réplique qui m'a achevée ! Pour Bichette, à chaque fois que je proposais un prénom, il me le raccourcissait "Appoline non, mais Pauline c'est bien. Adélaïde non, mais Adèle c'est bien. Sélène non, mais Hélène c'est bien" AAAAAHHHH il me rendait dingue ! Alors là j'ai opté pour des prénoms courts, histoire qu'il me les coupe pas davantage, et bah c'était trop court pour lui ! Je pense qu'il y en a qui sont devenus dingues pour moins que ça.  Fermons la parenthèse.

Finalement, la phrase à laquelle j'ai le plus droit, qui clôt les débats sans explication supplémentaire c'est "je trouve ça trop dur à porter"... et je vous jure que franchement, quand on voit les prénoms que je propose et ce qu'on trouve dans la nature, ils sont tout, sauf "dur à porter". Alors bon, vous le sentez venir, moi aussi, le prénom original, y'a des chances que ce soit pas pour ce coup-ci. Quoique je ne désespère pas ! J'en ai un en ligne de mire et je lui susurre à l'oreille pendant son sommeil pour qu'il atteigne son inconscient et qu'il finisse par me dire "ouais j'aime bien !". Pour l'instant, on en est toujours à "non vraiment, tu trouves pas que c'est difficile à porter ?". Qu'est-ce que vous voulez que je rétorque à un mec qui s'appelle Pierre ? Tout est difficile à porter quand on a l'un des prénoms du top 3 les plus donnés en France depuis plus d'un siècle. Je lutte contre un tsunami de classicisme !

Et puis, il y a quelques jours, j'ai fini par lui dire que j'avais épuisé toutes les listes existantes et que je ne voyais pas quoi faire de plus, ce à quoi il me répond "on peut chercher un prénom étranger sinon"... Genre, ce ne sera pas trop difficile à porter un prénom chinois, marocain, brésilien ou ougandais ???? Il a reconnu que, effectivement, ce n'était peut-être pas la peine que je me fatigue.

 

Bon et puis sinon, au pire du pire, on a 2 prénoms qui nous mettent bien d'accord, qui sont pas très originaux, mais que j'aime profondément. Alors peut-être qu'il faut que j'arrête de râler et que j'accepte qu'on a en réalité 2 coups de cœur en commun et que ça c'est cool ! Enfin cool... on n'arrive pas à les départager alors c'est une autre galère ! On ne désespère pas et on attend un signe divin pour trouver notre bonheur. D'ailleurs, en ce moment, Bichette passe souvent des appels téléphoniques à son petit frère "allo petit frère ?", je lui dis de lui demander comment il s'appelle mais bon, elle n'est pas décidée à poser la question à priori !

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Le 6ème mois

Eh voilà : le troisième trimestre débute déjà ! Ce sixième mois a marqué un réel coup d'accélérateur dans la grossesse en ce qui me concerne. Déjà mon ventre a grossi à vue d’œil ces dernières semaines : plus possible de me confondre avec quelqu'un qui aurait abusé des burgers ! J'adore retrouver ces jolies formes de femme enceinte que j'avais déjà tant appréciées pour la précédente grossesse. Bébé Fraise de son côté est A FOND ! Il gigote sans cesse et ses mouvements sont de plus en plus perceptibles. J'ai même parfois du mal à me concentrer au travail tellement mon ptit chat fait la java ! Il est hyper réactif au moindre contact sur mon bidon pour notre plus grand plaisir. Ensuite, c'est ce mois-ci que j'ai réellement réussi à investir cette grossesse et a lâché les angoisses tenaces qui s'imposaient depuis le tout début : j'étais persuadée que quelque chose allait mal se passer. Cette fois, ça y est, je me projette à fond avec mon p'tit mec. Du coup, je fais le tri dans les vêtements de bébé, je commence à préparer les faire-parts DIY, je pense à l'aménagement de la chambre (qui est toujours à l'état de chantier...), je réfléchis à l'organisation avec la future nounou, je lance aussi un jeu de pari en ligne pour nos proches... bref, je suis toute tournée vers ce bébé à accueillir. Bon, et puis surtout, avec mon cher et tendre on parle encore et toujours prénoms... Je vous fais un article prochainement pour vous raconter ça car ça vaut son petit pesant d'or !

 

Le 6ème mois, c'est aussi celui du test pour le diabète gestationnel et alors là j'ai serré les fesses très fort, j'ai prié tous les dieux, j'ai croisé les doigts, les doigts de pieds, les ligaments de mon utérus (ouille ça fait mal!) et mes vœux ont été exaucés : pas de DG cette fois-ci ! J'aurais pu danser sur une table tellement j'étais heureuse en voyant les résultats, je me suis contentée de dire à mon mari « fais péter le sucre ! ». Bon, hein, on reste raisonnable of course !

 

A la fin de ce mois, enfin, il y a eu le fameux rdv sage-femme. Tout va pour le mieux ! Les contractions que je ressens sont sans incidence sur le col, je gère la fatigue et les petits maux divers et variés. On continue donc ainsi. Une petite écho pour le plaisir, pour voir que bébé fraise est toujours aussi beau. Et la sage-femme qui me dit « c'est bien un garçon : il est en train de se tripoter ! ».

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Le 5ème mois

Alors là j'avoue que la grossesse n'a pas vraiment était au centre de nos préoccupations... entre les travaux dans la nouvelle maison, le déménagement au milieu du mois, l'anniversaire de Bichette, la reprise du travail et l'entrée à l'école de mademoiselle Bichette qui nécessite qu'on se penche sur la question de la propreté, bébé n'était pas en haut de la liste dans nos pensées. Pour autant, ce petit a du caractère et ne se laisse pas oublier de la sorte ! Vous vous souvenez quand je voulais l'appeler « Bébé escargot » pour qu'il soit mou, mou, mou ? Ouais, bah c'est loupé ! Il est tout, sauf mou ce petit cœur ! Ca gigote non-stop dans mon bidon ! Il y a des jours où je me demande s'il dort. Bref, c'est la fiesta. Bon, on ne se plaint pas, en réalité c'est super cool de pouvoir enfin sentir ses coups et mouvements chaque jour. Et le soir, on se pose un peu avec le papa pour sentir notre petit bébé au milieu de la frénésie qu'est notre vie. Ah ! J'ai failli oublié : on s'est tapé la gastro aussi ce mois-ci... la bonne gastro familiale dont on sort lessivé ! Résultat, lors de l'échographie T2, 2 semaines après la dernière visite chez la sage-femme, la balance annonçait 1kg de moins ! Bon... ils seront vite repris. Parce que pour cette grossesse, j'ai faim en permanence ! La cata ! L'échographie se passe nickel, même si bébé fraise n'est pas hyper coopératif et ne nous offre pas son plus beau profil : Monsieur met sa tête en extension arrière, bouche ouverte... Il gobe les mouches ! Et ça a l'air confort, parce qu'il ne bouge pas ! En fin d'écho, il commence à mettre des coups dans l'appareil de la sage-femme : à priori, on le dérange !

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Le 4ème mois

Qu'il fut long ce 4ème mois ! En réalité, il n'a pas duré plus longtemps que les autres, mais suite à la T1, nous avons décidé que cette fois-ci nous ne garderions pas la surprise du sexe pour bébé Fraise. Eh oui, comme on pensait sérieusement que ça pouvait être un garçon et qu'on se projetait tous les 2 avec une deuxième fille, il nous semblait préférable de connaître le sexe pour se préparer au mieux à la naissance de notre bébé. Autant, si on avait décidé de garder le sexe secret, j'aurais été d'une patience intangible, autant là j'étais totalement impatiente de savoir ! Et, comme nous sommes en août (vacances = monde au ralenti), le RDV du 4ème mois avec la sage-femme a plutôt lieu au début du 5ème mois ! J'espère vraiment qu'on pourra connaître le sexe à ce moment-là.

 

Nous voilà donc à patienter ! Enfin... en vrai on n'a pas trop le temps de s'ennuyer entre les travaux de notre future maison, le déménagement à préparer et Mademoiselle Bichette à gérer en plein Terrible Two ! D'ailleurs, cette demoiselle Bichette qui se moquait totalement de Bébé Fraise commence à y porter un intérêt. Si son adorable mère peut bien se brosser pour avoir un bisou, Bébé Fraise lui y a droit (alors bon, je profite un peu de ces bisous sur le ventre : c'est mieux que rien !), et aussi à des petites caresses, et des câlins. Et de temps en temps, on saute sur le ventre de maman, pour voir si c'est toujours interdit...

 

Bon, eh bien cette grossesse comme la précédente : j'ai le droit aux premiers vomissements en ce début de 4ème mois ! Heureusement, ça ne dure pas longtemps et les nausées ont quant à elles disparues. Pour ce qui est de la fatigue, je crois qu'il va falloir faire avec toute la grossesse cette fois-ci !

 

Enfin, nous y voilà : 23 août, visite du 4ème mois ! La sage-femme me confirme qu'on va faire une petite écho plaisir pour voir si tout va bien et qu'on pourra connaître le sexe si bébé est coopératif ! Coopératif ? Mais évidemment ! On pourrait même dire « à la limite de l'impudeur » ! On est donc rapidement tombé sur un entrejambe et la sage-femme n'a rien eu à dire pour qu'on comprenne que c'était bien un petit garçon ! Il faut quand même que je fasse un petit retour en arrière sur l'évolution de mon vécu pour le sexe de ce bébé. Avant de tomber enceinte, j'étais persuadée que ce 2ème serait un garçon et ça ne me réjouissait guère, je me suis toujours dit que je ne saurai pas m'occuper d'un garçon. Puis une fois enceinte j'avais le pré-sentiment d'attendre une petite fille. Et puis, il y a eu le rêve : un rêve que j'ai fait au 2ème mois de grossesse. Dans ce rêve j'accouchais et je découvrais le sexe de mon bébé : un petit garçon ! Et une joie immense m'envahissait, je pleurais de joie ! A partir de ce rêve, je me suis dit qu'en fait j'étais sans doute prête à avoir un petit mec. Du coup, l'annonce de la sage-femme provoque en moi un sentiment de sérénité: le même que j'ai ressenti en découvrant que bichette était une fille (je n'avais pas sauté de joie, ni pleuré de joie, je m'étais sentie sereine à la découverte de cette fille, comme si ce n'était pas une surprise).

 

Bon et puis notre petit mec, il faisait vachement moins bouddha qu'à la première écho... là il était en mode agité et acrobatique : les pieds au-dessus de la tête ! « Il fait la chandelle » nous a dit la sage-femme en riant ! Mouais... c'était peut-être une autre de ses acrobaties que j'ai ressentie 2 nuits avant le RDV : l'impression que bébé faisait une pirouette et était coincé dans un sens inapproprié... Ca promet !

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Le 3ème mois

Mais quand est-ce que cette fatigue va enfin me lâcher les basques ??! Peut-être que si Bichette cessait les réveils nocturnes et/ou les réveils à 6h10, ça aiderait. Pour l'instant, ma vie reste en pause et je continue de faire des siestes aussi souvent que nécessaire. Heureusement, ce troisième mois est celui du début des vacances : Alléluia ! Mon cher et tendre dit que j'étais à 2 doigts d'être en arrêt... j'ai pas l'impression, mais à priori, lui me voyait dépérir à vue d’œil.

Vous vous souvenez du moment où j'ai compris que j'étais enceinte parce que j'étais ultra bonnasse ??! Ouais... bah ça, c'est fini ! Maintenant je ressemble à un morse échoué sur un canapé qui souffre d'acné. Punaise et dire que pour la grossesse de bichette, je resplendissais et qu'on me disait « c'est un garçon : les filles volent la beauté de leur mère ». Alors là, je ne sais pas si je suis montée à l'envers et que le petit mec que je porte me vole ma beauté ou si ma deuxième fille est une sadique, mais je suis servie ! J'ai au moins hâte que mon ventre fasse « femme enceinte » et non « je bouffe des McDo depuis 3 mois, ça te pose un problème ? ». Bon... franchement, on dirait pas comme ça, mais à la limite je ne me plaignais encore pas trop. Après tout, je porte la vie, c'est merveilleux, tout ça, tout ça. Et puis un matin, je me suis levée et... j'avais perdu un bout de sourcil... JE VOUS JURE, un bout de sourcil sur 5mm, disparu ! Mon mari me dit « qu'est-ce que t'as foutu avec tes sourcils ? », moi ça fait 2 semaines, que je me prépare sans regarder ma tête emboutonnée donc j'ai rien remarqué. Je lui réponds, un peu vexé « oh c'est bon, je sais, il faut que je les épile, j'ai la flemme ». Et là, il me dit « bah non mais y'en manque un bout ! ». HORREUR MALHEUR c'était vrai ! Je lui ai quand même demandé s'il s'était pas amusé à me faire une mauvaise blague dans la nuit. Genre... mon mari... ce qui connaisse le rigolo que c'est, savent que cette question est drôle, et évidemment il m'a répondu « bah oui, j'ai que ça à faire. Moi je dors la nuit ». Donc, me voilà face à la vérité toute nue : l'enfant que je porte doit détester sa mère, je ne vois que ça ! Bon, allez, dédramatisons, un jour j'en rirai (enfin, si le-dit sourcil daigne repousser!).

 

Fini de me plaindre, le troisième mois, c'est surtout la 1ère échographie. Et là, quel bonheur ! Voir notre bébé fraise tout mignon, qui se présente à nous en posture bouddha (punaise, ça marche le point du bébé zen!) avant de faire tout ce que la sage-femme lui demande sans la moindre difficulté : un amour. Rien à voir avec la T1 de bichette où il avait fallu secouer mon ventre et mon utérus dans tous les sens pour que mademoiselle daigne se positionner correctement ! On passe un super moment avec mon cher et tendre. Il faut dire qu'en plus la sage-femme est top et prend le temps de nous expliquer tout ce qu'on voit. C'est acté, ce sera la sage-femme qui suivra toute la grossesse. Et hop, nouvelles estimations de terme : je gagne une semaine !

Retour à la maison, attendrissement devant les premières images de notre bébé d'amour... bon... notre désirée 2ème fille semble quand même avoir un petit zizi qui remonte... à suivre ! Niveau mignonnitude, je ressens aussi les premiers mouvements de Bébé Fraise. J'ai longtemps eu un doute sur mes ressentis car cela n'a rien à voir avec les premières petites vagues ressenties pour Bichette. Là ça a commencé par des sensations de pesanteur qui me faisait dire « bébé se situe très exactement ici », puis des mouvements furtifs, presque déjà des coups ! Ils sont extrêmement rares et à chaque fois unique.. pas vraiment l'occasion de profiter, mais ça ne saurait que s'intensifier !

 

Enfin, ce 3ème mois est le moment de l'annonce à la grande sœur. Bon... comment dire ? C'est pas qu'elle s'en fout royalement... c'est que pour l'instant, elle voit pas trop quel est l'intérêt de s'intéresser à un truc gros comme une pêche.

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Le deuxième mois

Ce deuxième mois fut loooong looong loooong ! J'ai compté les jours, voire même les heures... les jours qui me séparaient de la fin de ce premier trimestre avec ses nausées et sa fatigue... les heures jusqu'au moment où j'allais retrouver mon lit. Niveau fatigue, j'avais oublié combien la fatigue de grossesse est violente et insurmontable : rien n'en vient à bout, même pas une sieste de 2h. Niveau nausées, rien à voir avec la grossesse d'Hélène. J'en ai beaucoup plus souffert cette fois-ci. Du coup, beaucoup plus besoin d’en-cas en journée, beaucoup plus de dégoûts pour des odeurs et des aliments. A l'heure où j'écris, le brossage de dents reste une torture chaque jour : je ne supporte plus les goûts de dentifrice... j'ai l'impression de me brosser les dents avec les pieds de quelqu'un qui pue sacrément des pieds et qui tente de masquer l'odeur avec de la menthe. Bref, l'horreur. Et comme pour Bichette, je ne supporte plus de boire de l'eau : le pulco citron redevient mon meilleur ami.

 

Ce deuxième mois c'est aussi celui de l'échographie de datation : moment tant attendu et tant redouté. Malheureusement, à cause d'un malentendu avec la sage-femme, mon cher et tendre n'a pas pu y assister. La peur d'un problème a vite laissé la place à la joie d'entendre quelques secondes ce petit cœur qui bat.

 

Pour que cette grossesse se déroule du mieux possible, j'ai décidé d'acheter un livre sur les points d'acupression. Au programme, des points à masser en fonction de l'avancée de la grossesse pour que tout s'aligne comme il faut, mais aussi des points pour soulager les maux de grossesse. Personnellement, ça ne les a pas éradiqués mais ça les a limités. J'avoue m'être dit à un moment « bon ça marche pas ce truc », du coup j'ai tout arrêter et après 3 jours super mal, j'ai repris ! Ah ! Et puis je pratique le point du bébé zen... ça a intérêt à marcher !

J'ai aussi décider de faire attention un maximum à mon alimentation : je suis le même régime que pour bichette quand j'ai fait du diabète gestationnel, mais en m'autorisant un peu plus d'écarts (faut pas déconner quand même). Pour l'instant ça paie : pas de diabète détecté jusque-là et une prise de poids anecdotique. Pourvu que ça dure !

 

 

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Le 1er mois

Ca c'est un mois qui file vite ! A peine le temps de réaliser que hop, on passe déjà au suivant. Bon bah là j'ai été malade. Les 3 jours qui ont suivis ma découverte de la grossesse, mes intestins m'ont vraiment fait un sale coup. Il a même fallu que je prenne un jour d'arrêt. Et j'ai demandé au médecin « c'est pas un symptôme de grossesse, hein ? Je vais pas être comme ça pendant 3 mois ? ». Elle m'a assurée que non. Symptôme de grossesse ou petit virus, le mystère restera entier. N'empêche que c'était pas cool.

 

Sinon, niveau symptômes, ça a été. Quelques douleurs aux seins, histoire de dire et puis la fameuse fatigue... que dis-je ? l'épuisement ! Le truc où tu te lèves, tu te demandes déjà quand est-ce que tu retournes te coucher. La nuit, ta fille pleure et tu l'entends très très très loin et tu te dis « il faut que je me lève » et tu marches les yeux fermés jusqu'à son lit. Ce genre de fatigue insupportable. Question nausées, je suis plutôt tranquille, comme pour bichette en ce premier mois, si ce n'est sur des temps bien précis (du genre finir l'assiette froide de gratin de bichette... beurk ! Rien que d'y penser...) et des rots de Princesse Dégoutante ! Par contre, une angoisse bien plus forte que pour bichette, un espèce de pré-sentiment qu'un truc n'allait pas. Ca n'a duré que 3-4 jours, probablement à cause du fait que j'étais bien malade.

 

Bon, et puis, pour moi impossible de tenir ma langue. La règle d'attendre le 1er trimestre pour l'annoncer est un truc qui me dépasse. Trop envie de partager la nouvelle avec nos proches ! Et de partager les 1ers ressentis de cette grossesse. Alors en 10 jours, c'est annoncé à nos familles respectives et mes amies les plus proches. Je suis sur mon petit nuage. Et on commence déjà à se prendre la tête sur les prénoms...

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Les 10 fois où le Terrible two nous a le plus fait rire/pleurer/donner des envies de meurtre...

Eh oui, dans quelques jours notre chère Bichette aura 2ans. Et à l'approche des 2ans, il faut chaque jour composer un peu plus avec les humeurs de mademoiselle : le Terrible Two est déjà bien installé... et on ne sait pas quand ça va se terminer. Il y a des fois où c'est presque drôle, même si souvent on a plus envie de s'arracher les cheveux... Allez petit top 10 du pire et du meilleur du Terrible Two de notre bichette (jusqu'ici...) :

 

1. Faire ce qu'elle désire quand elle le désire : en tête de liste, mettre son chapeau, ses lunettes de soleil, ses chaussures, son manteau ou tout autre accessoire à porter de mains à toute heure de la journée. Ah ça, quand tu te retrouves à 7h30 en train de prendre ton petit déjeuner face à Bichette en lunettes de soleil, chapeau, qui mange nonchalamment ses petits morceaux de pain, tu as l'impression de partager la tablée d'une diva hollywoodienne !

 

2. Mener papa et maman par le bout du nez au moment du coucher (et le reste du temps aussi mais ils l'ont pas encore remarqué : chut!) : Le coucher c'est pas compliqué chez nous : 2 histoires, un câlin avec chaque parent, une chanson et dodo. Bon... ça c'est la théorie. En pratique, la partie « câlin » peut vite devenir trèèèèès compliquée. Parce que le câlin, Bichette le veut dans la chambre de papa et maman ou peut-être sur le fauteuil, à moins que finalement assis sur le lit ce soit mieux ? ou assis par terre ? A la fin de l'échange, t'as même plus envie de faire le câlin, tu bouillonnes littéralement ! Et tu lui dis avec tout l'amour que tu lui portes " bon ça suffit maintenant, c'est câlin ici ou pas du tout !".

 

3. Décider des lieux de promenades et crier très fort si papa et maman ne suivent pas le bon itinéraire : nous avons ainsi découverts que notre chipie avait un très bon sens de l'orientation et que si la balade en poussette ne se dirigeait pas vers le parc de jeux, nous aurions le droit à des contestations "pas là ! Là-bas !! Toboggan ! Jeux !". Et puis, le phénomène s'est accentué et maintenant, quand on se balade en poussette, elle indique toutes les rues qu'on ne prend pas en disant "par lààààà!", en chignant, of course. Je vous dis pas comme je suis détendue à la fin de la balade...

 

4. Passion magasin ! La demoiselle a une adoration pour les magasins : Ca rend nos sorties en voiture ou à pieds épiques, car elle veut aller dans TOUS les magasins (et sans demande d'achats, juste pour regarder la marchandise). La première fois que c'est arrivé, j'ai eu une crise d'un quart d'heure en voiture (sanglots et nez mouchu compris) car, vilaine mère que j'étais, je refusais qu'on aille le dimanche à 18H30... à bricomarché ! Et puis, en ce moment, on fait une petite fixette sur la pharmacie du coin : dès qu'on passe devant il faudrait y entrer. Bref, Miss Shopping est parmi nous et quand le soir je lui dis qu'il faut qu'elle dorme vite pour passer une belle journée demain, sa réponse c'est "magasin ?". Bon, j'avoue des fois, on utilise le magasin en chantage... On a honte (un tout petit peu)

 

5. « Moi toute seule ! » C'est sans doute la phrase du Terrible two ! Elle veut tout faire seule et si tu as le malheur de faire à sa place : c'est la crise ! Et si tu ne l'aides pas alors qu'elle galère, c'est la crise aussi... Elle veut mettre son manteau seule, pas de problème, mais fermer la fermeture seule... c'est un peu ambitieux, non ? Bon bah, crise du coup.

 

6. Au top du top du « moi toute seule », on a l'installation dans la siège auto... Bichette a décidé un beau jour que dorénavant elle monterait seule dans son siège auto. On lui a répété moultes fois, que ce n'était pas possible, qu'elle était trop petite. Et puis un jour où j'avais un peu plus le temps et où elle m'avait déjà bien mis sur les nerfs, je lui ai dit « ok, vas-y, je te regarde ». Je m'attendais à la voir galérer et abandonner : la leçon apprise par l'expérience, vous voyez le genre. Bon... eh bien la leçon fut pour maman car mademoiselle bichette s'est hissée seule dans son siège auto, en clamant des « oh c'est dur ! », mais elle y est arrivée. Nouvelle crise maintenant, elle veut s'attacher seule... comment voulez-vous que je sois encore crédible avec mon « tu es encore trop petite pour ça » ? Bichette 1 – Maman 0.

 

7. « MOI MOI MOI ! » : variante au « moi toute seule », il y a le « moi, moi, moi ! » qui veut dire qu'il faut la laisser faire, elle. Maman a osé mettre le riz dans la casserole sans que ça soit Bichette qui verse ? Ca vous fera une petite crise d'un quart d'heure au bas mot ! Parfois ça passerait plus vite de remettre le riz dans le paquet et de recommencer avec bichette en chef d'orchestre.

 

8. Edicter une règle et la contourner 5 secondes plus tard : Bichette est une petite fille très perspicace, qui a bien compris les règles. D'ailleurs, elle peut vous les réciter sans problème. Et puis 5 secondes après, elle les contourne, le tout en se marrant et en attendant votre réaction. Dans ses préférés, on a longtemps eu le lançage de doudou et tétine en dehors du lit... Bichette de nous dire « pas tombé doudou... pas tombé tétine. Tombé doudou, doudou fini ! » et nous de répondre « oui, ma chérie c'est ça, si tu lances doudou et tétine, doudou et tétine, c'est fini ». Et là, tu n'as même pas passé le seuil de la chambre, qu'elle se lève rapidos et balance tout par dessus bord avant de se recoucher tout aussi rapidos genre ni vu, ni connu !

 

9. Vous n'oseriez pas couper les aliments de cette enfant tout de même ?! Il était couramment acquis que nous coupions le fromage et les fruits de bichette en petits morceaux. Jusqu'au jour où, revirement de situation, Bichette s'est mise à hurler « nooooooon !!! pas coupé ! » quand j'ai osé couper en 2 son morceau de fromage. Après des cris et des tentatives de recollage sans succès, bichette a fini par se calmer. J'avais compris la leçon et je transmettais illico l'information à Monsieur Papa. Mais une semaine plus tard, celui-ci coupe en 2 un morceau de prune... horreur malheur ! CRISE !!! PAS COUPEEEEEER ! Le papa, pas bête, a imaginé mettre fin à la crise en faisant disparaître le-dit morceau coupé dans la bouche de Bichette entre deux « pas couper ma prune ! ». Manque de bol, il manquait toujours un morceau de prune et maintenant plus aucun espoir de le recoller, ce fut dramatique !

 

10. « NON » : évidemment, le Terrible two est avant tout le phase du « non ». Non à tout, absolument tout, même quand en fait c'est oui. Du coup, il faut décrypter le vrai non, du non qui est en fait un oui. Mais attention car parfois le non est un vrai non et si tu insistes en croyant que c'est un non qui veut dire oui alors là ça se transforme en « NOOOOON !!!! ». Et encore attention, car parfois, même un « non » qui s'est transformé en « NOOOON ! » était en fait un oui. Vous me suivez ? Exemple : Bichette ne veut plus manger son assiette alors que c'est un plat qu'elle adore (suspect donc). « bichette, tu en veux encore ? » - Non. - Tu es sûre parce que tu aimes beaucoup ça les patates... tu n'en veux plus ? - NON ! - Tu en veux encore ou pas (histoire d'être sûr) ? - NOOOOOOON ! - ok, ok ! Donc, le parent mange l'assiette de bichette qui se met à huler « Noooon encore ! encore patates !!!! »...

 

Et il parait que c'est une affaire qui va durer jusqu'à 3ans ? oh punaise... c'était donc le chapitre 1. Rendez-vous dans quelques mois pour les nouvelles péripéties du Terrible Two... (moi je vais pleurer en attendant).

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